C’est notre troisième jour dans l’île, et nous sommes toujours envoûtés.

 

Aujourd’hui, les gros bras sont de sortie : les quads vont chauffer…

 

 

 

 

 

 

Nous décidons de faire tous les chemins de l’île , en commençant par Vathy.

 

 

 

 

 

 

Vathy (Βαθύ) est une lagune avec une entrée étroite, presque un lac, avec une eau bleu turquoise.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Trois bateaux se sont mis au mouillage, loin du bord. L’eau est turquoise, mais laiteuse, et les rives sont rocheuses, à part deux appontements pour canots.

Le site est magnifique mais austère. Avec son entrée exposée au Meltem, je n’en ferais pas une destination de croisière.

 

 

Il est temps de chercher une taverne. Celle de Vathy ne nous inspire guère. Nous reprenons la route vers la baie d’Analypsis. Et chance, nous trouvons une gargote de bord de mer où on nous propose χωριάτικη σαλάτα, la salade grecque, et un pageot grillé. Le patron présente le poisson et passe au barbecue, au bord de la plage.

 

 

 

 

 

 

Le service est charmant.

 

 

 

 

Le poisson : géant !

 

 

 

 

 

 

Et l’ambiance détendue.

 

 

 

 

 

 

Nous reprenons les quads après un temps de méditation digestive, et ayant réussi à les orienter dans le bon sens, nous nous dirigeons vers la plage de Panormos.

 

Nous voulions du quad : nous sommes servis. Le paysage est magnifique, mais la route infernale.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A Panormos, en bord de plage : des parasols et un bar improbable avec des bières glacées ! Le ravitaillement doit être compliqué ici.

 

 

 

 

 

 

Le retour se fait à basse vitesse, car les stations-services sont rares sur ces chemins de terre, et nos jauges frisent le 0.

 

 

 

Nous retournons à bord d’Amarante qui nous attend sagement pour le dîner et une nuit réparatrice avant le retour vers Paros.

 

 

 

 

 

 

Au mouillage de Livadia à Astipalaia, le 16 juillet 2024

 

 

Caposud