Astipalaia, Ile papillon…

Isolée au milieu de la mer Egée, entre Cyclades et Dodécanèse, repaire de pirates et place forte du contrôle maritime depuis l’antiquité.
Une histoire mycénienne, grecque, romaine, byzantine, vénitienne, turque, italienne, et même anglaise mais grâce à Dieu un an seulement, puis définitivement grecque depuis la fin de la 2e GM.
Elle subit peu de tourisme, car elle a peu d’hôtels et d’infrastructures, et bénéficie d’une nature brute.
Située dans les flux de Meltem de l’est de la mer Egée, la traversée depuis Amorgos ou Kos se mérite.
15 juillet
Malgré le Meltem qui continue à souffler, le mouillage étant sûr (50 mètres de chaîne sur une plaque de sable), nous quittons Amarante en début de matinée.

Notre première halte est pour un loueur de quads : un chacun ?
Petit tour de la petite ville de Livadia…

Puis direction le σουπερμάρκετ Κριτικός pour un avitaillement digne de la Fratrie maritime. Outre les flasques, bouteilles, canettes, kahouettes, et de l’eau, nous razzions le rayon boucherie et celui les légumes.
Ce qui donnera lieu à une barbaquebecue partie de retour à Bord.


Les 250 grammes de côte passent tous seuls.
Suite à sieste, l’envie d’aventure terrestre nous reprend, et nous partons en repérage autour de la baie Sud de l’Ile.



Le soir venu, nous retrouvons la quiétude du cockpit où les verres n’attendent plus que les canettes de μπίρα Μύθος que nous pétons (tsikipchiii) avec entrain de boire.

Au mouillage de Livadia à Astipalaia, le 15 juillet 2024
Caposud
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