S/Y AMARANTE

  

29 et 30 juin 2018

 

 

 

 

29 juin 2018.

 

Naoussa c’est bien, mais Amarante fait de la moule sous la quille, et il est temps de lui polir le fond à l’eau de mer.

Nous filons à terre avec l’annexe pour faire les dernières courses indispensables : jus de tomates pour Espadon et Ouzo pour Caposud et quelques niama-niamas style-genre « Doritos », olives Kalamata, tzatsiki, taramas, hoummous pour égayer les apéros.

Il nous faut également restituer les quads à notre loueuse.

 

  

Au passage, une petite photo de la baie depuis le bureau de la dame.

 

 

 

 

10h00.

 

Nous appareillons vers l’île d’Iraklia sous un bon 20 noeuds de vent qui nous pousse gentiment au largue.

 

Qu’est-ce qui rythme bien les navigations et maintient la bonne humeur à bord ?

Les repas, bien sûr.

 

Ici, un haché de boeuf « bourguignon » : galette de pommes de terre râpées en canapé, moutarde de Dijon, steak haché du boucher de Naoussa grillé à cœur (le steack), nappé d’une compotée d’oignons rouges.

 

 

                                                               

 

 Le soir, nous mouillons dans la baie de l’ilot Venetiko, déjà visité lors d’une précédente escale, mais valeur refuge assurée.

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Heureusement, Espadon a repéré l’annexe…

« La nuit est limpide

L’étang est sans rides,

Dans le ciel splendide,

Luit le croissant d’or… »

 

Craposud a chanté cette nuit-là, et pas avec des yeux de topaze !

 

 

30 juin 2018.

 

Après une nuit de mouillage des plus calmes, il faut maintenant orienter la proue vers Athènes, but de notre périple.

 

10h00 – Appareillage.

 

Nous décidons de faire escale à Mikonos.

 

Amarante a passé trois semaines en mer et au mouillage, et il est couvert de sel. L’eau produite à bord est trop douce, et le niveau de carburant est passé à 33 % : il est temps d’avitailler.

Nous nous présentons à la marina de Mykonos vers 17h30 à l’arrivée. Le préposé portuaire nous indique que la marina est pleine, mais que demain sera un autre jour.

 

Nous allons donc mouiller au fond de la baie de Livadeiri, au nord du village d’Ormos,

 

 

 

 

Fatigués par une longue route en mer, nous repérons sur l’appli « l’âtre-ripe-Aldo-vaï-et-ta-sœur » le restaurant Το Απομερο

 

 

                

 

 

 

 

 

 

Qui comble notre appétit et recevra un avis très favorable sur « l’Atre »avant le retour à bord dans la baie tranquille.

 

 

 

 

 

Mykonos, baie de Livadeiri, le 30 juin 2018

 

Caposud