28 juin 2018 – Naoussa (Paros)

 

S/Y Amarante

 

 Jeudi 28 juin 2018

 

Amarante étant bien placé au mouillage, la nuit a été calme, d’autant plus que le vent avait nettement fléchi la veille.

 

  

  

Petit déj’ rapide, un bain de mer pour Caposud, et vers 10h, il me dépose à terre avec l’annexe pour que je puisse aller me dégourdir les jambes.

 

Petite heure de footing et de grimpette sur les collines environnantes me permet d’avoir une vue d’ensemble de la baie de Naoussa.

  

 

  

A mon retour, surprise !

 

Caposud m’annonce qu’il vient de se faire livrer à bord un mérou de belle taille.

 

Un pêcheur ambulant lui a fait : « Hola ! Du bateau !… » (sic)

Normalement il aurait du faire : « Ηολα ! Δυ Βατεαυ !

En tout cas il voulait vendre son poisson.

 

 La question du menu pour le midi ne se pose donc plus….

 

 

                                       

                                         

 

 

Le repas à peine achevé et la vaisselle rangée, nous sautons dans l’annexe pour une excursion à Naoussa, et l’achat d’un nouveau chapeau pour le cap’tain, le précédent ayant servi d’anémomètre le matin même et n’ayant pas supporté une rafale à 30 nœuds (pb qualité sans doute…)

  

                                                            

 

 Puis location de 2 quads pour un tour complet de l’île de Paros, soit une cinquantaine de kms.

  

                                                             

 

  

                                                                                

 

 

 

 

 

Tout cela nous creusant l’appétit, notre Caposud nous promet un festin de rois dans un restaurant servant des mezze exquis, dont je devrais longtemps me rappeler !….

 

Mais, nous dit-il, nous avons le temps de rentrer à bord, de prendre l’apéro, et de nous poser un peu.

 

En guise d’apéro, nous avons eu des paquets d’eau de mer, le moteur de l’annexe tombant lâchement en panne à une cinquantaine de mètres d’Amarante.

  

C’est donc à la rame que nous avons rejoint le bord, et non sans mal, les vagues et le vent s’acharnant à nous faire reculer d’un mètre à chaque fois que nous avancions de deux.

 

Finalement, me dit le Caposud (dont le sens de la formule est légendaire), c’est à bord que nous dégusterons les mezze….

 

 D’ailleurs, il s’attelle à leur réparation aussitôt à bord, comme on peut voir ci-dessous :

 

 

 

 Au bout d’une heure, le moteur a fini par bien vouloir redémarrer, sans trop que l’on sache pourquoi il a fait un tel caprice…

 Une boîte de feuilles de vigne farcies et 3 olives ont servi de repas…

  

C’est donc le cœur et surtout l’estomac légers que la soirée s’est achevée…

 

 

 

Au mouillage à Naoussa,

le 28 juin 2018

 

Espadon

 

 

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