S/Y AMARANTE

 

22 juin 2018

 

 

Nous quittons le port de Katapola sur l’île d’Amorgos aujourd’hui, mais nous ne résistons pas au plaisir d’un petit déjeuner à terre.

 

« Το καμαρι », le bouchon, en grec, est une auberge authentique.

« Ca ne vient pas d’Athènes », nous dit la Mama tenancière, bonne comme du bon pain, pendant que nous choisissons nos pâtisseries.

Nous savourons yaourt grec au miel, et pâtisseries maison. Le café est parfait.

 

 

 

 

 

Un dernier regard en arrière vers Amorgos et son rythme serein, encore peu polluée par le tourisme de masse, surtout à cette saison.

 

 

Papy pêcheur au travail

 

 

Et nous appareillons.

 

 

 

 

Et mettons le cap sur le passage entre les îles Antikeros et Drima

 

 

 

 

 

 

A l’arrivée au passage, Mérou Céleste scrute le fond,

 

 

 

 

tandis que Caposud manœuvre serré, un œil sur la carte, et l’autre sur les bleus clairs du fond ou du pas fond, d’ailleurs.

 

Le mouillage est splendide, et nous y passerons un bon moment dans l’eau à nager ou observer les fonds avec masque et palmes, assez jolis à cet endroit.

 

 

 

 

Au soir, nous mouillerons dans une baie isolée et peu fréquentée, de l’île Irakléa, cachée derrière l’îlot Venetiko, qui la masque du large.

 

Au fond, un restaurant tenu par un pêcheur, « Pera Panta », avec la Mama qui officie en cuisine, dans un cadre genre style aventuriers.

 

 

 

 

 

 

 

Avant Ouzo

 

 

 

Après Ouzo

 

Il ne reste plus qu’a rentrer à bord et à passer une nuit tranquille.

 

 

Au mouillage à Irakléa, Baie de Vénétiko, le 22 juin 2018

 

Caposud