S/Y AMARANTE

 

Jour « J » pour le départ vers la Grèce et ses iles paradisiaques, plus particulièrement les Cyclades.

 

Caposud, notre Captain nous attend sur l’ile de Paros dans le charmant (ça nous le saurons par la suite) petit port de Naoussa.

 

La Rascasse de Sormiou  et moi-même, Mérou Céleste , avions peaufiné nos réservations de A à Z il y a plusieurs mois afin que ce voyage soit le plus confortable et les escales optimisées au maximum.

 

Une fois passée une première frayeur, en l’occurrence l’annonce d’une grève de ces bons aiguilleurs du ciel au départ de Marseille, nous avons pu embarquer sur notre vol Aegean Airlines à destination d’Athènes.

Deux heures et vingt minutes plus tard nous y étions.

 

Prochaine étape, rejoindre le port du Pirée (du meilleur, ouaf, facile…).

 

Là il a fallu improviser, taxi ou bus et d’un commun accord nous optâmes (t’as vu le staïle ?) pour le bus.

Là nous avons pu voir Athènes sous un jour parait -il inhabituel c’est-à-dire sous des trombes d’eau !!!

 

 

 

 

Et tu te dis (dans ta Ford intérieure…), « pourvu que ça cesse avant qu’on descende… »

 

Le fait est, ça s’est calmé et nous avons pu rejoindre le ferry munis de nos billets dument réservés quelques mois plus tôt ;

Une organisation d’une fluidité particulière…

Il n’y avait plus qu’à patienter les cinq heures nécessaires pour atteindre Paros.

 

 

Au passage une photo de Syros prise depuis le pont du ferry.

 

 

Arrivés à Paroikia, sur l’île de Paros il nous restait à trouver et prendre un bus à destination de Naoussa ou Amarante et Caposud piaffaient d’impatience.

 

En attendant, le bus déambulation dans les charmantes ruelles, à la recherche d’une glace que nous avons fini par trouver.

 

 

 

 

Le reste du voyage s’est déroulé sans encombre.

 

Dans le petit port de Naoussa nous attendaient l’annexe d’Amarante et son Captain, Amarante étant au mouillage un-demi-mille au large ;

 

Nos retrouvailles ont été à la hauteur de ce qu’elles sont toujours, cordiales et amicales.

Caposud en homme de la situation a su nous dégoter un petit resto dont le sympathique patron n’a pu lui refuser un service à une heure pourtant assez tardive ;

 

Mezzés et vin grec particulièrement bien choisis sont venus couronner ces retrouvailles.

 

 

 

Retrouver Amarante en pleine nuit fut une simple formalité : OUF !

 

Notre nouvelle aventure pouvait commencer toujours accompagnée d’une sympathique bière Grecque.

 

 

 

Naoussa

Le 18 Juin 2018

 

Mérou Céleste.