S/Y AMARANTE

 

28 mai 2018

 

En cette belle journée de mer, l’équipage vaque à ses occupations favorites :

 

Caposud capite, Nemo  épluche l’essence de la matière vivante,

 

 

 

 

 

Et Loptimist   nous monte un reportage genre style Grand Reporter La Voix du Gabon.

 

 

 

 

 

 

Et tout à coup, nous entrons dans le monde sans pitié de la guerre même.

 

Un navire tout gris croise notre route, précédé par deux hélicoptères sans marques, et indétectables au radar.

 

Caposud s’empresse de repérer les unités présentes sur le théâtre d’opérations marines.

 

 

 

 

 

 

 

 

Enfin, une escadrille nous survole,

 

 

 

 

 

puis un cinglé de pilote (en fait, j’aurai bien aimé être à sa place) nous passe sur la tranche à 50 mètres de hauteur et 100 mètres d’Amarante.

Celui-là, on ne l’a pas entendu venir, et il nous a tellement vrillé les tympans que l’appareil photo est resté posé…

 

Nous avions apparemment croisé un dispositif de la marine américaine.

 

Ayant brillamment géré cette escarmouche guerrière, nous décidons alors de stopper en mer, pour passer à table et fêter dignement l’évènement.

 

 

 

 

 

Puis, c’est l’abandon à la mer et au soleil, l’équipage retrouvant des comportements ataviques de baigneurs en bord de piscine.

 

 

 

C’est le pied marin, quand même…

 

 

 

 

Loptimist nous refait le coup du reportage pour magazine de maillots de bain.

 

 

 

 

 

 

 

 

Et quand même, un petit vent se lève, qui nous rappelle que nous sommes marins, et nous déployons alors le spi avec la sérénité qui nous est commune.

 

 

 

 

 

 

 

Le soir, les talents et l’esprit de service s’exercent autour de la table.

 

 

 

 

 

 

En mer le 28 mai 2018

Caposud