S/Y AMARANTE

 

Mercredi 23 mai 2018

 

Dans la nuit de mardi à mercredi, les quarts se succèdent : 22h-01h (Loptimist), 01h-04h (Caposud), 04h-07h (Nemo).

Amarante file dans la nuit noire au milieu des étoiles, dirigée par une main invisible qui anime la barre par moments pour tenir le cap au 121.

 

A 5h30, le jour se lève et deux dauphins viennent brièvement nous saluer.

 

 

 

 

Le petit déjeuner bien mérité est agrémenté par des muffins maison (merci Profitéole   ) très appréciés.

 

 

        

 

Un vent portant se réveille aussi et nous testons différentes combinaisons de voiles en complément du moteur.

 

 

 

 

Amarante a du succès auprès des auto-stoppeuses.

 

 

 

 

Celle-ci trouve que le cockpit est pas mal, mais préfère finalement l’environnement plus calme du carré.

 

 

 

 

 

Le sopalin adéquat est subséquemment disposé à la verticale de l’oiseau.

 

Autre découverte de la journée : les talents de Caposud pour la cuisine. La mutinerie n’est pas pour aujourd’hui ! En tous cas … pas avant ce soir…

 

Vers le milieu de l’après-midi, nous doublons les falaises annonçant les bouches de Bonifaccio.

 

 

 

Dans les bouches, un bon vent portant de 15-18 nœuds nous permet (presque) de nous passer du moteur avant d’arriver au port de La Gavetta, le port de la ville de La Maddalena où nous accostons en Allemagne au terme d’une belle manœuvre.

 

 

 

 

Direction la pizzeria avant une nuit réparatrice en prévision des prochaines aventures de l’équipage d’Amarante !

 

Pour terminer cette belle journée, une petite devinette : Quel est le point commun entre un pâtissier et un pêcheur de thon ? (réponse à suivre)

 

 

La Gavetta, le 23 mai 2018

Nemo