26 et 27 juillet 2015 – Isola Ruja – Porto della Taverna

 

 

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S/Y AMARANTE

 

26 juillet 2015

Hello ! C’est Turciopuce  !

Le trajet depuis Isola Ruja est sportif…

Amarante est au près, ses trois voiles enroulées aux deux-tiers dans un vent de terre de 25 nœuds établis, avec des claques à 35, et le moteur en appui à 1500 tours.

Au passage de la montagne de La Caletta, le bateau se ‘vracque’ comme dit Caposud : le vent d’ouest monte brutalement à 40 nœuds, le bateau se couche, et tout d’un coup, le vent change de sens et passe à l’est dans une claque à 25 nœuds.

Amarante bascule d’un coup sur bâbord… Panique à bord !

 

On mouille le rail de fargue ! Caposud choque le génois en grand, puis la Grand-voile, et Amarante se redresse et peut reprendre sa route, avec des voiles très arisées.

 

La suite s’est passée sans encombre, mais au fur à mesure où nous virons vers le nord-ouest en suivant la côte, le mistral prend le bateau plein de face, et nous resterons au moteur seul jusqu’à Porto della Taverna.

Oh ! Peuchère, le capitaine y est pour quelque chose dans le nom ?

Taverne, Porto, all the stuff… L

 

 

 

Le vent se calme, et à l’abri des îles et du cap Ruja, nous apssons une nuit tranquille au mouillage.

 

27 juillet

 

Ce matin, fidèles à nos habitudes, nous glandouillons allègrement.

Lecture, dormure, puis mixture pour midi : vous le savez tous – ou vous le saurez si vous venez un jour manger à bord -, Capo Sud aime bien les sauces au piment, ail, oignons, persil, coriandre…

 

Bref, mixture = nourriture explosive. 

Attention, danger de foudroiement .

 

L’après-midi, avec Capo Sud, avec sa main gantée et étanchée avec un ruban adhésif, nous sommes allés faire une plongée masque et tuba, nous avons pris soin d’emporter la GoPro.

Chacun se prépare pour aller voir les poissons.

 

 

 

Réajustement en cours… Merci de patienter…

 

 

Armement de batterie, vérification de la GoPro, verrouillage de l’étui étanche, parés au décollage.

Après nos minutieux efforts, nous partons.

 

 

Posidonie et girelles.

 

 

 

Dauphin beige.

 

 

 

Oblade.

 

 

 

 

Et avion !

Je vous avais bien dit paré au décollage, non ?

 

 

 

Ensuite nous rentrons au bateau, sans avoir oublié la procédure d’approche prévue.

 

 

Allô ! Mât de contrôle ! Demandons autorisation d’atterrir ! Terminé.

Après quelques petits détours de vérification…

 

 

 

 

 

 

 

Et enfin, c’est l’appontage à bord d’Amarante…

 

J’ai visité ma première épave !!!

En ce 27 juillet 2015

 

Turciopuce

 

 

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