« Bandiera dei Quattro Mori » ou en sarde « Bandera de sos battor Moros »

 

 

 

S/Y AMARANTE

 

Dimanche 28 juin 2015, 35 °C à l’ombre.

 

Je suis sûr qu’Amarante fait de la moule. Avec la chaleur qu’il fait, les petites coquilles doivent proliférer sur sa coque. Quand les bulles commenceront à monter du fond du port, il sera temps de mettre à la voile.

 

Il est seize heures ce dimanche.

Le vent vire à l’est, faible, après avoir nettoyé hier et ce matin les brumes citadines d’un fort courant de mistral. Dans ce calme de vent qui précède la renverse, le soleil assomme tout ce qui bouge.

Du coup, la ville est sans bruit depuis onze heures. Même les ambulances font la sieste.

C’est-à-dire en fait que les malheureux futurs blessés et malades qui ne le savent pas encore, font aussi pour l’instant la sieste, et que du coup, les ambulances sont à l’arrêt.

 

Cette deuxième escale a débuté tôt matin avec le départ de Barracuda , en tenue de barbe de quinze jours, genre pistolero sans le sombrero, par le train, direction l’aéroport.

Pratique, la gare est à 100 mètres du quai, et il y a un train toutes les 10 minutes.

 

Tu ne t’es pas moqué de moi en partant, mon frangibus : tu m’as laissé un beau label.

 

Je l’ai apprécié avec modération, comme il se doit.

 

 

 

En partie à cause de la modération, tu me vois un peu hilare, là (dirladada), avec juste une fesse sur le canapé car j’ai dû reprendre la photo une dizaine de fois : mon retardateur était réglé un peu juste.

 

A ta bonne santé mon Bro’s.

 

Samedi, ayant loué une voiture, je pris la route pour Olbia, ou je devais récupérer des pièces de plomberie, arrivées après notre départ.

 

Ce fut l’occasion de déjeuner à nouveau dans cet excellent restaurant : Da Antonio.

 

 

Avant le retour vers Amarante.

 

 

 

 

Le 28 juin 2015

Cap au Sud